Rencontre une dominatrice
Depuis quelque temps, un fantasme silencieux s’installe en moi, comme une brume douce qui enveloppe mes pensées. Ici, à Strasbourg, entre les ruelles pavées et les secrets du Bas-Rhin, je me surprends à rêver d’un abandon, d’un moment où je n’aurais plus à tout contrôler. Le premier mot, parfois, suffit à tout déclencher : un simple “bonjour” échangé au téléphone, la voix d’une femme locale, mystérieuse, qui devine mes failles et mes envies cachées.
Je m’imagine dans l’ambiance feutrée du Velvet Room, ce club discret dont on murmure le nom entre initiés. Là, la rencontre ne serait pas seulement physique, mais mentale, une dépendance subtile qui s’installe au fil des échanges. L’idée de me laisser guider, de céder un peu de mon quotidien épuisant, me fascine. Peut-être qu’une conversation, une voix, suffirait à ouvrir la porte de mes limites, dans l’intimité d’un club privé strasbourgeois.
Strasbourg