
Rencontre une dominatrice
Il y a, dans le silence feutré du Donjon de la Roquette, ce frisson discret qui précède la rencontre. Un regard échangé, un souffle suspendu, et soudain, le premier mot glissé à l’oreille, presque imperceptible, mais chargé de promesses. À Arles, la nuit a ses secrets, et j’aime m’y perdre, guidé par l’envie d’explorer ce jeu subtil où chaque geste, chaque pause, dessine une frontière invisible entre abandon et contrôle.
J’imagine une voix, la tienne, au bout du téléphone, complice et curieuse, prête à effleurer les limites d’une dépendance mentale douce, tissée de confiance et de non-dits. Si l’idée de partager ce lien, dans l’ombre d’une salle cachée, t’intrigue autant que moi, alors laissons Arles devenir le théâtre de nos confidences, là où la suggestion se fait art.

Arles